« Les crises qui se chevauchent de notre temps offrent une opportunité de construire des villes plus résilientes en mettant en œuvre des modèles zéro déchet.
Contrairement à ce que prétend l'industrie du plastique quant à sa contribution à l'économie mondiale, le plastique a des coûts environnementaux, sociaux et sanitaires élevés et apporte des avantages économiques limités. La réduction du plastique offre en fait de plus grandes opportunités économiques grâce à la création de nouvelles entreprises locales et à la réduction des dépenses publiques consacrées à la gestion de la pollution.
Avant le quartier des négociations des Nations Unies pour un travail mondial sur les plastiques qui se déroulera du 23 au 29 avril à Ottawa, le Laboratoire national Lawrence Berkeley (LBNL) a publié un studio pionnier qui révèle l'énorme impact climatique de la production de plastique. L'Alianza Global para Alternatives a la Incineración (GAIA) a préparé une information politique selon laquelle il est nécessaire que le monde accélère la réduction de la production de plastique pour éviter un réchauffement catastrophique. Les conclusions de l'information révèlent l'importance du traitement des plastiques dans tout le cycle de vie du plastique, depuis l'extraction jusqu'à l'élimination, qui est consigné dans le travail entre 175 pays. -la Résolution 5/14 de la UNEA-, qui constitue la base des conversations en relation avec le traité.
Conclusions principales :
Avant le quatrième cycle de négociations des Nations Unies pour un traité international sur les plastiques qui se tiendra à Ottawa du 23 au 29 avril, le Laboratoire national Lawrence Berkeley (LBNL) a publié un étude révolutionnaire révélant l’énorme impact climatique de la production de plastique.
En réponse au rapport, le Dr Neil Tangri, directeur scientifique et politique de l'Alliance mondiale pour les alternatives aux incinérateurs (GAIA), le Dr Jorge Emmanuel de l'Université de Siliman, Philippines, et le Dr Sam Adu-Kumi, ancien directeur du contrôle des produits chimiques. et Centre de gestion de l'Agence de protection de l'environnement (EPA) du Ghana, ont rédigé une note d'orientation contextualisant les conclusions du LBNL dans le cadre de l'Accord de Paris sur le climat et du budget carbone mondial, et comment cette recherche renforce le mandat d'un traité fort sur les plastiques qui réduit considérablement la production de plastique.
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